Revue de presse

 

« Du lyrisme en peinture… des coups de pinceau vigoureux, une maitrise des couleurs et de la lumière extraordinaire. Une grande construction semble  prédominante dans les tableaux de Myriam di Lorenzo. Ceci n’empêche pas des gestes spontanés. Et probablement ce sont ces gestes là qui créent une dramatique que le spectateur perçoit directement, tout en préservant  la dimension intellectuelle de son art. Il s’agit d’une pensée plutôt mélancolique  où Myriam di Lorenzo puise la force pour sa peinture qui se traduit par des tons de coloris surprenants par leur richesse et parfois presque aveuglants. La marge d’interprétation devient plus large grâce à cette richesse de couleurs et démontre la maîtrise ainsi que le plaisir du peintre au moment de la création. Kai Kricheldorff, Badische Zeitung  28/09/2012, trad. U. D.

 

« … Par le travail de verticalité, elle laisse l’énergie surgir en suggestions mystérieuses et les huiles tantôt transparentes, tantôt lourdes et granuleuses de sable, font apparaître des silhouettes et des ombres prises dans des traits de lumière. Rien n’est dit, tout est rêve. » Y. Hobel DNA 27/09/2012

 

« … Ici le langage de son expression picturale est proche du cri, voire de la danse. Sa voix intérieure s’exprime dans ce flou pour décrire  son émotion fondamentale du destin tragique de l’humanité…. Quasi lyrique, cette structure qu’aucune gestualité ne distrait, offre une profondeur renouvelée qui conduit le spectateur à la méditation. Par son graphisme et son invention plastique, il y a chez cette artiste un retour aux sources physiques de la vie, ce qui en fait sa force… » G.Cardonne  2011 (30 artistes répondent à l’Appel de Tuzla)

 

..”Des oeuvres transcendantes aux formes secrètes, loin de notre rationalisme et du formalisme habituel”  Y.D. Le Dauphiné Libéré 06/01/2006

 

“Une philosophie qui suppose une grande concentration, de l’énergie et du “souffle” et qui donne à ses toiles la vertu de la trace de l’essentiel, du signe. Un signe qui mature lentement, se fait attendre, puis tout à coup jaillit comme la flèche d’un arc… Parfois un rouge écarlate et tonifiant fait flamber la toile”…
A Tobé  Médiatrice culturelle  01/07 2005

 

…Ses huiles révèlent “des traces” venues d’une force intérieure… Sensualité, exotisme, voyage, silence, plénitude,, résonance, vibrations, des mots insuffisants pour traduire la pureté des lignes et des gestes.
C.P. Le Messager Passy 21/07/2005

 

“…Du figuratif à l’abstrait, le travail est fascinant de justesse et de sensibilité…”
Ph. Cortay Dauphiné Libéré Chamonix 25/05/2004

 

…Des toiles puissantes et très structurées…” S.L. Dauphiné Libéré 8/08/2003

 

“…Un mélange entre la fluidité et la force des lignes et des couleurs…une exposition qui semble agrandir l’espace…”
S.Eminet Dauphiné Libéré Chambéry 17/112/2001

 

…Donner corps à son âme…” C.A. Dauphiné Libéré Chambéry 11/07/2001

 

“…Myriam di Lorenzo ou la quête d’un certain bonheur nommé sérénité…” Ch.Barbier Dauphiné Libéré Sallanches 8/05/ 2001

 

…Ces oeuvres ne laissent guère indifférent celui qui les regarde…tant quelquefois ces images vous plongent dans le moi profond…
ou vous emmènent bien loin du tic-tac ordinaire du quotidien…” Maurice Odet Europe 2 Megève 10/11/1998

 

“…L’abstrait au sens figuré…” C. Fotia Le Messager Cluses 07/11/1996

 

…N’avez-vous jamais été séduit par l’aridité d’une roche? Par la sévérité d’un paysage désertique? Peut-être avez-vous ressenti la force intérieure qui en émane… Les “Déserts” de Myriam di Lorenzo recèlent cette force. Les grands aplats cachent des sources à peine visibles qui apportent la fraîcheur que l’on souhaite après une longue marche. C’est aussi de l’épaisseur de la nuit qu’il est question dans sa peinture. Une nuit belle et puissante, propre à nous rendre différent dans notre approche de soi. C’est peint simplement, sans effet superflu et gratuit. La couleur s’étale généreusement pour nous faire profiter de ses qualités. Sachons apprécier cette offrande…” J.Yves Rivière Messac 1990

 

“…La recherche des contrastes pour aller à l’essentiel…” P.Dujon, le Messager Sallanches 14/04/1989

 

 “…Certaines oeuvres, brossées de main de maître, profondes, accrocheuses, éclatent comme le réel réinventé…. Et du gouffre monte soudain comme un son virginal, une note ténue, caressante et avare d’explications, une petite musique sans parole en somme…
I.D. Dauphiné Libéré Belley 4/11/1985

“…On ressent une sincérité dans chaque trait, dans chaque touche de couleur…Il y a là un étonnant mélange de spontanéité et de sérénité…Sous le pinceau de Myriam di Lorenzo, la matière prend forme, devient sensation, révèle la réalité, même dans les compositions plus abstraites…”
R. Hugon, L’Essor Savoyard Chambéry, 26/04/1985

 

 

…Myriam di Lorenzo, à la recherche d’une profondeur et d’une élégance rares…” Dauphiné Libéré Aix les Bains 16/10/1982